[Archives du forum officiel] Les écuries royales d'Argonne

Jean de Huy (14/03/1454) a écrit:: Chers habitants d'Argonne ;
Neugaine et Jean de Huy, ont l'honneur de vous annoncer l'ouverture d'une ECURIE MUNICIPALE. C'est la 5 èmes ouverture de ce type dans la duché.
Cette écurie permettra:
-D'abord de permettre à toutes celles et à tout ceux qui ne savent pas monter à cheval, d'apprendre rapidement.
- Ensuite de réaliser de superbes promenades dans notre cher duché, ...seul ou en groupe,... ou accompagné de sa bien-aimée.
-Enfin, l'écurie d'Aragonne recevra les fidèles montures de nos preux chevaliers.
-Les chevaux de l'écurie, seront, bien entendu, au service du duc en cas de conflit.

Neugaine et Jean de Huy ( centre équestre de Troyes )

Jean de Huy a écrit:: ...Pour réaliser l'entretien des boxes et des chevaux, nous recherchons un bénévole pour nous aider dans notre tâche..... après délibération, il pourra devenir "Maître des écuries d'Aragonne ".

Jean de Huy
Neugaine

Petitangelot a écrit:: J'adore les chevaux et suis moi-même bonne cavalière! J'ai souvent eu de très bon contact avec les chevaux difficiles pour les mettre en confiance... (HRP c'est véridique! )
En cas de problème, je m'occuperai avec plaisir des soins.

Anonymous a écrit:: Merci Petitangelot.
Si tu le désires , tu peus t'occuper des écuries, car je vois que tu as de bonne connaissence.
Bien entendu , si Neugaine y met son accord !!!
bàt;
Jean de Huy

Petitangelot a écrit:: Je vous remercie de votre confiance, Jeandehuy!
Mais je ne pense pas que j'aurai le temps de m'occuper de tout! :? Surveiller les chevaux, les soigner, préparer l'avoine, sélectionner des bons chevaux,... (bon d'accord ça fait déjà pas mal ) tous les aspects pratiques je pourrais les traiter ou aider des palfreniers à le faire. Par contre l'organisation général, la maintenance des batiments,... celà sort un peu de ma compétence et de mon temps libre...
Il faudrait du renfort...

Petitangelot a écrit:: Voici les écuries d'Argonne.

Un tout grand merci à tous les menuisiers et charpentiers qui ont eu du coeur à l'ouvrage. Elles sont bien placées et bien construites!

Une petite visite de l'intérieur:

-> Dès l'entrée, il y a des stalles pour les chevaux de selle et chevaux de bât. Les deux chevaux qui sont en repos sont ceux de Neugaine et de Jean de Huy: ils récupèrent avant de reprendre la route.

-> Dans le dernier quart des écuries, on retrouve des box et stalles réservés aux chevaux de chevaliers et de joute. Elle sont plus confortables et spatieuses.

Nous cherchons un palefrenier pour s'occuper du nettoyage des stalles et box ainsi que pour surveiller les écuries la nuit.

Jean de Huy a écrit:: Jean de Huy revint aux écuries d'Argaronne où il rencontra Petitangelot...
" Ma chère j'ai l'honneur de vous nommer officilement Maître des écuries d'Argaronne... ...vous devrez faire connaitre à toute la ville l'existance des écuries.
J'ai bien entendu votre souci de temps... ...mais vous avez, maintenant , le pouvoir d'engager, qui que vous voulez pour vous aider dans cette tâche !...
vous ête le maître ici !!!..
Attention , le plus important...que les chevaux se portent bien..vous en êtes la garante.
Jean reparti aussi tôt , car il devait rentrer à la hate , à Troyes, pour ses fiançailles !!!

Petitangelot a écrit:: Petitangelot était très fière de sa nouvelle fonction. Elle aimait particulièrement les chevaux et était enchantée de pouvoir s'occuper d'eux. Quand elle était jeune, elle était obligée de se rendre en cachette dans les écuries du seigneur pour pouvoir les approcher. Les chevaux sont un privilège des chevaliers et de la noblesse.

Je vous remercie pour votre confiance, Jean de Huy. Je me montrerai digne de mon nouveau rôle.
J'attends avec impatience mes premiers pensionnaires!

Jean de Huy (25/04/1454) a écrit:: Missive envoyée depuis Langres....

Petitangelot ( avec "t" ),
Je suis à Langres, et j'ai appris que Maître Orabh venait de se marier !!.
J'ai une mission à vous confier,...trouver un beau poulain, et retrouver nous à Langre avec celui-ci....ce sra notre cadeau de mariage , offert par les Maîtres des écuries...
Je ne peu ma déplecer moi même, je suis dans un salle état, mais ce serait trop long à vous raconter !!.
bat, Jean de Huy

Petitangelot a écrit:

Petitangelot lit la missive que venait de lui apporter un coursier de Langres...
Il lui fallait trouver un poulain noble pour l'offrir à maître Orabh. Mais à Argonne, l'élevage des chevaux n'est pas très prolifique, les villageois se simplifie la tâche en achetant les animaux dans les villages voisins ou à des marchands de passage. Elle est la première à s'inquiéter de l'avenir des chevaux argonnautes.

Il me faudra donc aller chercher ce poulain autre part...

Elle pense alors à un homme dont elle avait crentendu parlé et qui se prétendait éleveur venant des Flandres hollandaises, de passage dans la région et qui s'était installé chez un habitant quelques jours.

Elle décide alors de se renseigner auprès de ses voisins pour apprendre chez quel habitant s'était arrêter le dit homme. Une fois l'information trouvée, elle se rend chez l'habitant et frappe à la porte. L'épouse du paysan ouvre.

Bonjour madame. Je m'appèle Petitangelot, je suis responsable des écuries d'Argonne. J'ai appris que vous aviez offert l'hospitalité à un hollandais de passage. Est-il encore en vos murs? J'aimerais le rencontrer.

La brave dame qui devait avoir une cinquantaine d'année, invite Petitangelot à rentrer et s'en va quérir le voyageur.
L'homme revenait des écuries. Arrivé devant Petitangelot, il la salue respectueusement puis se présente comme un représentant des éleveurs équins de son royaume. Leur cheval de prédilection est le frison! Petitangelot est aux anges (si je puis dire... ).

Je suis fort aise de vous rencontrer messire. Sachez que nous cherchons à offrir à un des maîtres d'écurie de notre duché une monture digne de sa situation à l'occasion de son mariage! Auriez-vous avec vous quelque beau poulain que nous pourrions vous acheter?

Le marchand heureux de pouvoir faire la promotion de leurs produits d'élevage, invite Petitangelot à venir voir les quelques bêtes qu'il avait pu amener avec lui. Etalons majestueux, juments flamboyantes, poulains prometteurs... il y a avait là que chevaux d'exception. Un poulain de 2 ans et demi retient cependant l'attention de la jeune femme.

Celui-ci me parait convenir à merveille à l'occasion. Pour quelle somme seriez-vous prêt à le vendre?

L'éleveur, un minimum commerçant ne tari pas d'éloges quand au poulain qu'avait choisi Petitangelot... le prix de départ qu'annnce l'homme parait un peu trop élevé au goût de Petitangelot. Après rudes négociations, elle arrive tout de même à baisser le prix et le marchand tout fier d'accepter une vente à des français qui ne manqueraient pas de mettre en avant un si bel animal!
Après conclusion du marché, Petitangelot s'en retourne chez elle avec beaucoup de satisfaction.

Arrivée chez elle, la jeune femme prépare une missive de réponse à maître Jean.

Petitangelot a écrit:: Maître Jean de Huy,
j'ai bien reçu votre missive. J'ai pu trouvé un jeune frison de noble lignée qui sera la fièreté du futur marié. Nous pourrons aller le chercher chez le marchand dès la cérémonie de mariage... Nous pourrions le présenter aux heureux époux lors de leur banquet afin que tous puisse admirer le bel animal.
Au plaisir de vous revoir à la fête, et en espérant que vous vous rétablirai rapidement,
votre dévouée,
Petitangelot.

Petitangelot a écrit:

Petitangelot arrivait dans les campagnes de Langres... Elle avait reçu il y a peut une missive du maître des écuries du royaume, Maître jean de Huy.

Jean de Huy a écrit:: Je suis à Langres, et j'ai appris que Maître Orabh venait de se marier !!.
J'ai une mission à vous confier,...trouver un beau poulain, et retrouver nous à Langre avec celui-ci....ce sra notre cadeau de mariage , offert par les Maîtres des écuries...
Je ne peu ma déplecer moi même, je suis dans un salle état, mais ce serait trop long à vous raconter !!.
bat, Jean de Huy

Depuis lors elle avait pu trouver un cadeau digne d'un maître d'écurie et avait eu vent que Jean de Huy allait beaucoup mieux et avait pu rejoindre Langres sain et sauf.
Petitangelot n'avait pas pu connaître la date exact du mariage de maître Orabh avec dame Delvine. Elle avait donc décidé de ne plus attendre et s'était mise sur le chemin de Langres.

Petitangelot a écrit:: "Et bien c'est d'accord! Nous allons partir à la rencontre des chevaux du monde! "

Alors que les deux compères continuaient de rêver de leur prochain voyage, des cris de chevaux retentissent. Jean et Petitangelot se retournent vers l'endroit d'où venaient les cris... Il semblerait que ça se passe à l'écurie!!

"Ce n'est pas normal! Il doit se passer quelque chose d'inhabituel!!"

Il y avait de l'inquiétude dans sa voix. Elle se relève rapidement puis fait silence pour essayer de distinguer un autre bruit qui pourrait expliquer l'énervement des chevaux... mais les montures crient tellement fort qu'il est impossible de discerner quoique ce soit.

"Il faut que j'aille voir!"

Elle part en courant, remontant la berge puis le sentier...

Jeandehuy a écrit:: Jean tenta de suivre Petitangelot, mais il avait plus l'abitude d'être sur un cheval que d'être à pied !!!....
En quelques instant , il se retrouva seul dans la forêt ...tous seul !!!! :? .....
" Euuuhhh....petit ange ????....t'es là ?????....maman !!!!".
Il se souvient les des mots de Petitangelots sur le loups-garous .... ...et finalement , si cette créature existait vraiment .... :? :? .....
D'un coup , Jean courra comme une biche...aussi vite qu'il pu ....et rattrapa bientot Petitangelot .......

Petitangelot a écrit:: Lorsque Jean rejoint Petitangelot, il voit celle-ci littéralement pétrifiée sur place. Son regard était figé dans l'horreur et l'incompréhension face à ce qu'elle voyait. Jean se retourne alors vers les écuries... La grange étaient en train de se consummer. D'immenses flammes envahissaient les cieux éclairant tous les allentours!
Dans un béguayement quasi innaudible, la jeune femme laisse exprimer tout son désarroi:

"Oh, mon dieu! Oh mon dieu!"

Puis sans plus attendre, elle réagit comme une automate.

"IL FAUT SORTIR LES CHEVAUX DE LA!!! ET ALLER CHERCHER LES GENS AU VILLAGE POUR ESSAYER D'ETEINDRE LE FEU!!!"

Elle fonce alors dans l'écurie pour essayer de libérer les chevaux de leur box... Tout près de l'entrée se trouvaient Flamme et Tanja: elles étaient affolées et hénnissaient en tout sens, les yeux écarquillés de frayeur. Petitangelot ne prend pas le temps de les rassurer: il faut faire vite pour sauver tous les chevaux. Elle ouvre d'un coup la porte des box. Les deux juments filent au grand galop vers l'extérieur.
La jeune femme passe dans la seconde salle où se trouvent les autres chevaux. Archange et Courage frappaient sur les parois de leur box. Petitangelot ouvre la porte qui les retenait. Les deux chevaux dans leur fuite folle manque de renverser la jeune femme. Lorsqu'elle reprend son équilibre, Petitangelot voit avec horreur que le feu avence de plus belle et touche maintenant la deuxième écurie.
La jeune femme arrive maintenant au box de Fureur, l'étalon noir hurle de toutes ses forces... Petitangelot n'arrive pas à débloquer le verrou... sous la chaleur, le métal s'est dilaté et le loquet ne veut pas céder...

Suite dans la halle d'Argonne

Petitangelot (17/08/1454) a écrit:

Les écuries d'Argonne ont été entièrement détruites par l'incendie. Une des juments, Nuance, n'a pas pu être sortie du batiment à temps. Cette morte affecte beaucoup Mélissande qui voit tout ce qu'elle avait construit disparaitre en fumée. Elle décide alors de tout de même entreprendre le voyage prévu avec Jean de Huy. Ce voyage vers la Provence, l'emmenant loin de la Champagne ne pourrait que lui permettre de se retrouver et de tourner la page.

La jeune femme, encore sous le choc du désastre, revient vers le site avec un piquet et un panneau à la main. Elle s'arrête au niveau de l'entrée principale et enfonce le piquet dans le sol avant d'y fixer l'écriteau où l'on pouvais lire ceci:

Citation :: Un incendie a touché les écuries d'Argonne en la date du 9 août 1454. Ainsi, en l'absence du maître des écuries et en attendant la reconstruction des installations, tout cavalier désirant s'arrêter à Argonne est invité à s'adresser à la taverne municipale pour trouver un villageois qui pourra accueillir sa monture.

Après celà, elle retourne chez elle et prépare quelques affaires... Elle va partir quelques temps, s'éloigner de tout celà.

Jean de Huy lui a proposé de le suivre jusqu'en Provence... chercher des chevaux pour le cheptel de Champagne! Voilà de quoi se ressourcer!

Petitangelot (29/09/1454) a écrit:

Un message est déposé au village d'Argonne par un cavalier-messager qui s'en retourne de suite sans laisser le temps à quiconque de le questionner plus amplement.

Petitangelot a écrit:: Bien le bonjour à tous les argonnautes,

Je prends le temps de vous écrire pour vous donner les nouvelles de notre voyage.
Nous avons traversé le royaume de France vers le sud et longeant la frontière à l'est... tout s'est bien passé jusqu'à Valence. Dans notre recherche de nouveaux chevaux, nous avons déjà pu acquérir quatre chevaux de traits et deux chevaux de sang, étalons et juments confondus. Dès mon retour, nous reconstruirns les écuries du village et il est fort probable qu'elle soit le bastion de l'élevage et la sélection des chevaux lourds à mi-lourds de notre duché.
En arrivant à Montélimar, nous nous sommes fait attaqué par deux brigands qui nous ont bastonnés et volé tous nos biens. Ils ont pu être interceptés par la police dauphinoise et ont été jugés, déclarés coupable et condamnés à nous rendre nos biens... Malheureusement, ils ont pu s'enfuir et semble bien loin à présent. C'est un peu affaiblis que nous reprenons maintenant la route pour atteindre enfin la Provence et y découvrir la mer du milieu.

Néanmoins, j'ai une bonne nouvelle pour Manouella: sa jument a mis bas. Elle va très bien et le poulain qu'elle a mis au monde se porte à merveille. Au début, nous le mettrons sur un brancard que tirera sa mère... mais nous nous arrêterons le nombre de fois et le temps qu'il faudra pour qu'il se repose.

J'espère que la suite du voyage redeviendra aussi calme qu'au début... Le village me manque... Vous me manquez...

Petitangelot.

Petitangelot (30/11/1454) a écrit:: Après s'être reposée, avoir croisé Manouella qui s'en repartait sur les chemins, avois rencontrer le père Fredstleu pour son changement de nom... Petitangelot avait enfin assez de temps et de courgae pour retrouner sur le site des écuries.
Elle marche lentement profitant d'une des dernières bonnes journées de la saison... le coeur se serre un peu lorsqu'elle se rapproche des batiments détruits. Elle se souvient... l'horreur avant son départ.
Elle s'assoit quelques instant sur une souche d'arbre qui servait de tabouret pour équper les chevaux et contemple le site. Bien que complètement détruits, l'âmes des lieux était restée intacte.
Elle revenait maintenant au village avec cette envie de tout reconstruire, de tout reprendre de plus belle!
Mais il allait falloir que les villageois l'aide: des charpentiers pour refaire le batiment, des forgerons pour les aider et refaire les box, de la main d'oeuvre pour amener des matériaux,... Nullement découragée mais pousser par une énergie retrouvée, la jeune femme reprend la route du village pour faire part de ses projets.

Mélissande a trouvé de l'aide en la personne de Godasse. Il l'aide à remettre à neuf le site des écuries.
La jeune femme a également contacter Redirish, menuisier-charpentier afin
qu'il viennent les aider à reconstruire une charpente solide pour les
nouveaux batiments.

Godasse57 a écrit:: Godasse qui rentrait de forêt après avoir abbatu son dur labeur de la journée passa comme tous les jours devant le batiment calciné qui tenait liue il fut un temps d'écuries. Un peu plus loin sur le chemin il croisa Petitangelot qui apparement était resté devant le batiment quelques temps.

Bonjour Dame Petitangelot comment allez vous ce matin? Un peu frais n'est ce pas ?
Que faites vous donc si éloigné du village devant les anciennes écuries si ce n'est pas indiscret??

Petitangelot a écrit:: C'est noté! J'aurai bien entendu besoin d'aide pour cela: j'ai beau ne pas être faible et de savoir utiliser mes mains, cela risque de ne pas suffir!
Je compte réunir les villageois pour leur présenter l'avenir des écuries et les motiver à la reconstruction! Qu'en pensez-vous?

Elle se retourne vers Godasse, toujours le sourire aux lèvres mais cette fois avec une lueur taquine dans les yeux.

Un rendez-vous donné en taverne pour discuter de cela?

Jean de Huy a écrit:

Missive....

Citation :: Ma mélissandre chérie....

Comme promis, je t'envois par escorte les cinques chevaux que nous avons ramenés de notre voyage...
Courrage pour la reconstruction des écuries d'Argonne ..j'ai foix en toi !..
Bises ,
Ton papa qui t'aime

Godasse57 a écrit:: Godasse nota l'enthousiasme et la determination de cette femme. Ainsi que sa passion certaines pour les chevaux. La lueur dans ses yeux n'était pas trompeuse pour deux sous.

Eh bien oui pourquoi ne pas en discuter en taverne ? J'y serais une partie de l'après midi ainsi que ce soir. Si jamais vous avez l'occasion de passer nous pourrions en discuter plus amplement.

Petitangelot a écrit:: Petitangelot, satisfaite de la propositin de Godasse, passe son bras autour du sien puis conclut:

Je suis contente que vous proposiez vos services! Nous en rediscuterons donc en taverne avec les autres villageois... personnellement, je ne passe en taverne que le soir. J'ai beaucoup trop d'autres choses à faire pendant la journée. Surtout depuis que je suis rentrée: j'ai pas mal de travail en retard.
J'essaierai donc de passer ce soir avec quelques croquis de plan que j'aurai préparer pour vous présenter mon projet...
Mais maintenat... me feriez-vous le plaisir de me racompagner?

La jeune femme se tait alors profitant du bon temps et de la promenade, toujours au bras de Godasse. Arrivée devant chez elle, à l'entrée du village, elle salue Godasse en exagérant sa révérence tant elle était d'humeur joyeuse et moqueuse. Un courrier lui est transmis alors par un messager. Il s'agissait de son père adoptif qui l'avertissait de l'arrivée prochaine des chevaux pour les écuries du village. Elle se retourne une dernière fois vers Godasse avant que celui ne s'éloigne.

Et je pense que cette réunion à la taverne sera la bien venue: nous allons devoir nous presser si nous voulons accueillir les chevaux qui arrivent!

Elle tourne ensuite les talons pour rentrée chez elle, quasi en trotinnant.

Godasse57 a écrit:: Godasse raccompagna obligeamment Petitangelot en écoutant ses projets. Godasse était de plsu en plus interressé. Arrivé là où il devait raccompagner Petitangelot celle ci lui fit part de son intention d'aller en taverne ce soir. Il lui sourit et en s'élogna lui dit:

Je comprends parfaitement que vous soyez très occupée donc nous nous reverrons ce soir en taverne. Nous pourrons y discuter plus amplement de vos projets et de ces chevaux qui arrivent si vite.
A ce soir donc et passez une bonne journée

Godasse s'éloigna donc pour ramener le bois qu'il avait coupé au marché

Petitangelot (01/12/1454) a écrit:: Le lendemain, Mélissande se lève avec plaisir... Elle se rafraichit puis passe une tunique simple avant de se diriger vers le site des écuries.
La soirée de la veille, elle était allée comme convenu en taverne pour discuter de la reconstruction des écuries. Elle s'était rendue compte alors que "chez Galinette" on fêtait les fiançailles de Leslou et de Godasse. Elle s'était demandée alors pourquoi Godasse avait omis de le lui dire le matin. Il devait être alors sous l'effet de joie de la fête à venir. Du coup, elle n'avait pu discuter qu'avec Lyris et Léa qui avait proposé leur aide si besoin s'en faisait sentir...
Mais actuellement, Mélissande avait besoin d'hommes pour la reconstruction. Les fêtes aux village allaient bon train, ce n'était pas le moment de lancer cela.

Elle se dirige donc seule vers les ruines pour commencer à ramasser tout ce qui pourrait encore être utile...

Godasse57 a écrit:: Godasse venait de se lever. Malgré la gueule de bois de ce matin il avait décidé de faire un tour en fôret pour essayer de faire quelque chose de sa journée. Il ne tenait pas la grande forme... mais bon il fallait pas se laisser abbatre. Il passa comme d'habtide devant les ruines de l'écurie et eut la surprise d'y voir Petitangelot qui s'affairait.

Bonjour !! Alors vous commencez deja les travaux !!

Je suis désolé pour hier je n'ai pas pu passer plus tôt en taverne.

Mais si vous avez besoin d'aide maintenant je me ferais un plaisir de vous aider.

Godasse s'approcha alors des ruines dans l'intention d'aider Petitangelot a mettre un peu d'ordre.

Petitangelot a écrit:: Mélissande voit Godasse arrivé alors qu'elle avait les bras chargé du matériel équestre qu'elle avait pu retrouver dans un état encore correct. Elle lui sourit.

Mais ne vous excusez pas de cela! Vous aviez autre chose à faire et plus jolie femme à entretenir!

Oui, je me suis levée de bonne heure pour déja à mettre un peu d'ordre ici... les travaux ne commenceront pas avtn quelques jours le temps que je trouve les matériaux nécessaires.

La jeune sourit de nouveau à la proposition de Godasse.

Je ne voudrais pas vous retenir alors que vous avez peut-être mieux à faire ailleurs... Pour l'instant je récupère tout ce qui peut être réutilisable...

Elle montre alors du doigts quelques tas qu'elle venait de former.

J'ai un peu de matériel: des brides, une selle, deux ou trois outils: pelles, fourches,... Mais beaucoup sera à refaire. Le métal des loquets, charnières ont trop soufferts des flammes et sont inutilisables...

C'est alors que Mélissande arrive à l'endroit où se trouvait le box de Nuance. On pouvait distinguer sous les décombre quelques os de la carcasses de l'animal. La jeune femme s'assoit alors sur un morceau de bois et verse une larme qu'elle ne peut retenir!

Godasse57 a écrit:: Godasse regarda tout ce qui avait pu être sauvé et décida que Melissande avait bien besoin d'aide, c'est pourquoi il se mit au travail pour l'aider a remettre en bon ordre les écuries le plus vite possible.

Ne vous en faites pas je crois qu'hier les multiples verres d'alcool que j'ai ingurgité ne m'ont pas été profitable pour travailler correctement aux bois. Je vais donc vous aider ça me fera du bien et une activité pour la journée.

Godasse était de mettre de l'ordre dans un tas ou il y avait des selles quand il aperçut Melissande s'assoir l'air triste. Il s'approcha d'elle.

QUe se passe t il vous n'avez pas l'air bien??

Petitangelot a écrit:: A cette question, la jeune femme s'affère à reprendre ces esprits et essuyer la larme qui a glisser sur sa joue. Toussotant un peu pour reprendre une voix plus neutre:

Dans notre écurie, nous avins une jument batarde qui s'appelait Nuance. Elle était brave et dévouée. Elle avait été d'ailleurs très utile à Andreia pour un de ses voyages. Malheureusement, nous n'avons pas pu la sauvée: le feu avait pris tout près de son box. Prisonnière, elle a brulée vive.

Ne voulant pas montrer signe de faiblesse, elle se relève et écarte les morceaux de bois dégageant ainsi les ossement, les ramasse et les met sur le côté près d'un piquet de cloture.

J'irai les enterrer plus tard dans un coin. dit-elle enfin pour détourner l'attention. Elle se remet à fouiller dans les décombres.

C'est gentil de m'aider. Nous allons rassembler tous les débris de bois dans un coin, les métaux de l'autre et ainsi de suite... une fois tiés, nous pourrons brûler le bois inutilisable, demander à un forgeron de venir chercher les métaux pour les refondre,...

Godasse57 a écrit:: Godasse garda le silence pour ne pas troubler le recueillement de Melissande et commença a rassembler les matériaux pour pouvoir faire le tri. Au bout d'un moment il se retourna vers Melissande et regarda attentivement si il pouvait lui parler avant de poser sa question.

J'ai entendu dire que vous vous y connaissiez fort bien et je voulais vous demander ou je pourrais me procurer un cheval ??
En fait j'aurais bien aimé avoir un pur sang je trouve qu'ils sont magnifiques.

Petitangelot a écrit:: Mélissande était soulagée que Godasse lui pose cette question. Elle aimait les chevaux et c'est en général avec une voix passionnée qu'elle parle d'eux.

Vous souhaitez vous procurer un cheval!? Le problème n'est pas tant de savoir où chercher, le tout est de savoir quel cheval vous voulez vraiment et qu'elle sera son utilité.

[HRP: Petite précision: il n'existait pas encore de pur-sang tel que défini maintenant, au Moyen Age. Les chevaux étaient lourds, demi-lourds, voir légers mais tout de même de modèle carrossier. Donc si vous voulez respecter le RP à la lettre vous parlez de chevaux légers de modèle andalou. Les chevaux les plus fins étant des arabes: seul cheval vraiment léger utile de par son endurance.]

Mais sachez également qu'un cheval ne s'acquière pas gratuitement! A notre époque, il est souvent propriété des nobles tant son prix est élevé. Inutile donc de chercher la perle rare morphologiquement. Cherchons plutot le coté pratique!

Je parle, je parle... et je ne vous laisse même pas répondre!

Godasse57 a écrit:: Godasse écouta Melissande parlait. Il voyait bien à ses yeux que ce sujet le passionnait. Quand elle eut terminé son exposé il eut de suite une idée plus précise du genre de cheval qu'il voulait.

Eh bien voila en fait ce qu'il me faudra ce serait un cheval pour faire du voyage. Je vais être amené, je pense, a prendre souvent la route pour partir en patrouille. Il faudrait donc que mon chevla puisse faire des longues distances sans pour autant trop se fatiguer mais qu'il ne soit pas trop lourd ce ne sera en aucun cas un cheval de bât mais un cheval de monte.

Godasse venait de terminer de formuler son souhait. Il attendait donc maintenant l'avis éclairé de Melissande afin de pouvoir choisir le cheval qui conviendrait le mieux pour son utilisation mais aussi pour la santé du cheval .

moz (01/12/1454, suite) a écrit:

le messager que melissande avait envoyé à rouen revint qlqs jours plus tard et s'arreta aux ecurie ou il etait sur de trouver cette ravissante jeune femme qu'il avait pu admirer quand elle lui avait parlé le premiere fois

bonsoir dame, voici une reponse de l'homme de rouen

lui tend la missive

Citation :: mon amour,

tout d'abord sache que chaque jour qui passe est un jours de plus ou je me languis de te revoir.
il est vrai que depuis notre mariage nous nous somme separé ou plutot je suis parti au monastere. Je ne sais encore pourquoi. Puis en rentrant de cette retraite tu etais parti mais tu as eu raison je suis parti sans raison valable.
puis j'ai attendu ton retour et tu n'arrivais pas et avec cette retraite je voulais bouger, mon cousin m'eyant contacté je suis parti le rejoindre.
Maintenant j'ai depensé tous mes ecus dans ma taverne je ne pourrais donc pas arriver de suite, et j'en suis malheureux, mais il faut que je puisse m'en sortir ici avant de pouvoir venir (je n'ai presque pas de quoi manger).
je vais faire le plus vite possible pour te rejoindre en esperant que tu sera là qd j'arriverais, si cas contraire je comprendrai , et je suis desolé

je t'aime de tout mon coeur

Moz

Petitangelot a écrit:: Mélissande sourit à Godasse

Et bien ce genre de cheval ne sera pas trop difficile à trouver mais il faudra trouver le moyen de l'obtenir... Mais je vais essayer de m'arranger pour vous en trouver un à prix raisonnable.

Le messager arrive alors et interrompt leur discussion. Mélissande lit le parchemin qu'il lui remet puis le remercie en lui donnant quelques écus pour sa commission.
C'est avec un air un peu distrait pas ce qu'elle venait de lire qu'elle tente de reprendre la discussion avec Godasse.

Heu... oui, donc... j'essaierai de vous trouver une monture. Bon!... Nous avons déjà pas mal rassemblé les débris. Je vais aller au village pour trouver quelqu'un qui accepterait d'amener un attelage de boeufs pour amener les métaux chez le forgeron, et le bois chez moi...

Elle prend alors le chemin du village, les doigts de sa main droite ne s'étant pas désserrés écrasant le morceau de papier.

Godasse57 a écrit:: Godasse rattrapa Petitangelot.

Je vous remercie pour le cheval. Mais vous n'avez pas l'air au mieux de votre forme puis je vous aider en quoique ce soir??
Pour les boeufs et l'attelage je m'en occupe si vous voulez je fais un élevage de vacheset donc j'ai tout ce qui faut chez moi.

Godasse regarda Petitangelot qui avait l'air si triste et se demandait si il devait attendre la réponse de celle ci ou bien la laisser seule afin de ne plus la déranger..... Il commença donc a se diriger vers le village.

Petitangelot a écrit:: A l'interrogation de Godasse, Mélissande s'ébranle. Son visage qui était joyeux tout à l'heure et s'était refermé à la lecture du parchemin, s'attriste à présent.

C'est que... je...

Quelques mots, hésiatnts, la jeune femme cherche à se défendre à résiter à la tentation de se laisser aller. Puis... elle cède, elle n'en peu plus de paraitre forte tout le temps, de garder pour elle ses états d'âme. Elle choisit de lacher les armes pour un moment. Elle se retourne alors vers Godasse, les yeux tristes mais presque remerciant d'avoir osé poser la question.

Il y a presque un an maintenant que Moz et moi nous sommes mariés. C'est déjà tellement loin que je ne me souviens même plus si vous étiez déjà à Argonne. Peu de temps après nos noces, il a décider de partir un moment et n'est revenu que quelques mois après alors que j'étais en Provence, pour repartir d'autant plus vite s'installer en Bretagne.

Elle se tait un instant plongée dans ses réflexions. Les deux jeunes gens avait repris leur marche vers le village et tout en marchant, Mélissande continue:

Cette séparation prolongée, la rapidité à laquelle nous nous sommes mariés,... j'en suis venue à remettre en question tout cela et ne sais plus trop que penser. J'ai peur d'avoir dit "oui" uniquement parce que enfin un homme faisait attention à moi. Je lui ai écrit, il vient de me répondre et cela ne m'apporte encore aucune réponse ni réconfort.

La jeune femme se confiait avec soulagement... même si elle n'avait jamais eu aucun rapport particulier avec Godasse.

J'ai pensé le retrouver à Rouen pour le voir... mais je n'ose pas par peur de me rendre compte que je ne l'aime pas, par peur de le faire souffrir... et en attendant c'est moi qui doute et qui me tourmente...

Godasse57 a écrit:: Godasse écouta la jeune femme avec attention ému de la voir si triste.

Tout dépends ce que vous dicte votre coeur Dame. Je ne puis en aucun cas vous conseiller sur ce point car je n'ai connu que très Moz ainsi que vous. Mais je suis persuadé que vous prendrez la bonne décision.

Godasse regarda à nouveau la jeune femme.

Que diriez vous de se mettre à la tache pour finir ces écuries le plus vite possible peut être retrouverais vous le sourire après ça.

Il lui souria et la raccompagne jusqu'au village afin de faire les préparatifs pour remettre en état les écuries.

Petitangelot a écrit:: Vous avez raison! Je me laisse aller... alors que nous avons à faire!

Mélissande passe une main dans ses cheveux pour les remttre en arrière et comme pour faire disparaitre ses états d'âme.

Vous avez des boeufs, vous disiez!? Et bien, c'est parfait! Je vais quand à moi essayer de trouver un charpentier qui pourrait nous conseiller et nous aider pour le reconstruction!

Les deux compères continue de descendre la colline vers le village. Alors que Godasse allait s'en retourner chez lu pour préparer deux boeufs, Mélissande l'arrête en lui prenant le bras.

Je suis contente que vous m'ayez posé la question. Cela ma fait beaucoup de bien de parler... et je vous remercie d'être là pour m'aider...

Elle hésite un moment, amusée et troublée de sa sincérité...

... pour les écuries je veux dire.

Elle lui sourit encore pour le remercier puis s'en va d'un pas rapide vers le village pour trouver un charpentier.

Godasse57 a écrit:: Il n'y a pas de quoi. Ce n'est rien vraiment. C'est toujours un plaisir de rendre service. Et puis il y a trop longtemps que ces écuries sont en ruines, il fallait faire quelque chose. Si jamais vous avez besoin d'aide pour quoique ce soit n'hésitez pas à me faire signe.

Godasse regarda encore une fois Petitangelot s'élogner et lui sourit avant de reprendre la route pour aller chercher ses boeufs.

Godasse57 a écrit:: Godasse avait préparé l'attelage : une charette tirée par deux de ses boeufs et se dirigea de nouveau vers les anciennes écuries. Arrivé sur place il vit qu'il n'y avait personne, il décida donc de commencer a charger la charette des débris épars jusqu'au retour de Melissande afin de prendre de l'avance.

Petitangelot a écrit:: Mélissande revient vers le site des écuries. Elle aperçoit Godasse qui était déjà là avec ses boeufs et commençait à chargé les débris. Elle trottine alors pour le rejoindre et l'aider à déplacer la grosse poutre qu'il portait et qui avait un gabarit plutot encombrant et difficile à manipuler.

Attend, je vais t'aider...

Elle s'aperçoit alors qu'elle l'a tutoyer: elle lui sourit alors.

Si cela ne te dérange pas!?

Elle lui fait alors un compte rendu de sa quête d'un charpentier.

Il n'y avait pas grand monde de libre au village. Tout le monde est fort auccupé par ces élections... D'ailleurs, je me suis souvenue que Redirish était menuisier: je lui ai laissé un message pour lui demander son aide. j'espère qui nous rejoindra.

Elle retrousse les manches de sa chemise puis d'un air entendu, elle conclut:

En attendant, nous avons du travail pour le reste de la journée. J'ai échangé mes jupons contre un pantalon qui sera tout de même plus pratique.

Mélissande se penche alors pour poigner dans le bout d'une grosse poutre qu'elle soulève puis attend que Godasse fasse de même avec l'autre bout et la porter vers le charriot.

Godasse57 a écrit:: Non pas du tout le tutoiement me dérange pas. Je trouve ça même mieux le vouvoiement ça me fait penser que je suis mon père
Mais c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de charpentiers en ville c'est bien dommage d'ailleurs. De toute façon d'ici a ce que nous ayons fini de déblayer les élections seront finies je pense bien que Red viendra nous donner un petit coup de main.

Godasse empoigna l'autre coté de la grosse poutre et aida Melissande a la charger dans la charette.

A ce rythme la j'espère tout de même que nous aurons fini bientôt la reconstruction c'est vrai que ces écuries sont un manque.

Petitangelot a écrit:: Mélissande sourit...

Je suis heureuse que quelqu'un d'autre que mo s'intéresse aussi aux écuries. je ne comprend pas qu'il n'y ait pas plus de gens qui s'en inquiète. Pourtant les chevaux sont des compagnons utiles et même indispensable à notre vie...

Elle soupire tout en souriant, lachant la lourde poutre dans le charriot.

Mais nous trouverons bien les moyens de faire cela rapidement. Des chevaux arrivent bientot de Reims, ceux que nous avons pu acheter ou obtenir pendant notre voyage à travers la France.

Elle s'approche alors d'une ancienne porte de box. Elle se penche pour la prendre: la pièce n'était pas trop lourde mais avait un gabarit plutot encombrant. La jeune femme l'empoigne puis se redresse pour la soulever. Dans son effort, elle se déséquilibre et tombe à la renverse. Heureusement, la porte retombe sur le sol à coté de Mélissande qui se retrouve les fesses aux sol.
Un éclat de rire s'échappe de sa bouche, la surprise de la chute passée.

princesselea a écrit:: Léa s'approcha des écuries et, voyant Melissande et Godasse à la tâche, elle s'avança vers eux pour les saluer.

Bonjour Melissande, Bonjour Godasse,

Elle regarda autour d'elle et se dit qu'il y avait encore beaucoup de travail. Souriant à Melissande, elle lui proposa son aide.

Ma chère Melissande, j'aurais voulu vous proposer mon aide plus tôt, mais j'étais fort occupée. Et puis je suis partie en voyage. Accepteriez vous mon aide pour remettre sur pied les écuries? Je ne suis pas particulièrement douée pour les travaux manuels, mais je pense pouvoir quand même apporter un pierre à l'édifice.

Elle attendit une réponse. Melissande hocha la tête en souriant.

Très bien. Par quoi puis-je commencer. J'ai besoin de me changer les idées et de me défouler.

kirika_93 a écrit:: kirika arriva devant les ecuries.

Bonjour Dame Melissande, j'ai entendu parler de votre projet et je souhaite vous aider a le concrétiser. De plus si il vous reste un cheval a adopter je serais partante pour le prendre, si cela est possible je vous demanderais par consequent de me donner quelques cous d'aprentissage et d'entretien.

Kirika attendait la reponse avec apréhension.

Godasse57 a écrit:: Godasse vit Melissande s'éffondrer sur son séant alors qu'elle portait un objet bien encombrant. Il alla l'aider a se relever quand il aperçu de loi Léa et Kirika qui arrivaient.

Bonjours a vous deux j'espère bien que vous venez nous aider. Nous en avons bien besoin il se trouve que reconstruire un batiment tel que celui ci va prendre un sacré bout de temps si nous ne sommes que deux.

Godasse se retourna alors vers Melissande à coté de lui.

Ils arrivent quand au fait les chevaux de Reims??

Anonymous a écrit:: Lyris avait eu peu de temps entre ses deux voyages en Lorraine pour venir aider Mélissande.
Elle viendrait à son retour. Mais en attendant elle avait voulu faire une surprise et un cadeau à Mélissande qui se dévouait tant pour les écuries.

Elle avait trouvé au détour d’un chemin un vieux fer à cheval. Elle l’avait nettoyé. Puis sur un morceau de porte qu’elle avait trouvé dans les décombres des anciennes écuries, elle l’avait fixé solidement. A l’encre elle avait fait un dessin et tracé de belles lettres.

Voilà de quoi mettre sur la nouvelle porte, si Mélissande le veut dit-elle à haute voix

Juste avant son départ pour la Lorraine et ne voyant plus Mélissande et Godasse dans les alentours, elle déposa discretement le morceau de bois décoré et un petit mot prés des anciennes écuries, à l’abri du mauvais temps en espérant que Mélissande les trouve.

Petitangelot (01/12/1454, suite) a écrit:: Mélissande se relève en se tenant au bras de Godasse!

Merci beaucoup! On aurait dit une jeune enfant qui ne sait pas encore tenir son équilibre seule!

Une fois debout, elle frotte son pantalon pour le débarassé de la poussière et de la terre dont il s'était chargé dans la chute. Avec l'aide de Godasse, elle met la porte de box "rétissante" sur le chariot. Au moment où elle se retourne pour se diriger vers la planche suivante, elle aperçoit Léa qui arrivait...

Une aide aussi gentillement proposée ne pourrait être refusée. Et il n'est pas nécessaire d'être pourvu d'une forte musculature pour se rendre utile! Nous nous chargeons pour l'instant de déblayer le site afin de recommencer du bon pied. Deux mains supplémentaires ne seront pas superflues pour entasser tout cela sur le charriot des boeufs!

Kirika arrive à son tour sur le site peu après Léa.

Bien sur que votre aide est la bien venue! Par contre, il n'y a pas de cheval à "adopter" pour l'instant. Les seuls chevaux dont j'ai eu la charge pour l'instant sont des chevaux de propriétaire. Par contre dès que nous aurons reconstruit les écuries et que les quelques chevaux qui arriveront de Reims auront intégré leur box, nous organiserons des cours équestres. Je me ferai un plaisir de vous initier aux rudiments de l'équitation et à tout ce que peuvent nous apporter les chevaux.

Mélissande retrousse convenablement ses manches et reprend d'un ton motivé:

Rien que d'en parler mon coeur est empli d'impatience... Allons-y gaiement. Nous allons nous occuper tout d'abord de rassembler le bois que nous amènerons chez moi: j'en ferai un tas par après où tout le monde pourra venir se servir pour le bois de chauffe. Ensuite nous nous chargerons des métaux à apporter chez un forgeron qui pourra les fondre pour refaire des loquets et serrures pour les box...

En même temps qu'elle explique tout cela, Mélissande montre du doigts les morceaux qui jonchent le sol. Une fois les explications terminées, elle se lance à l'attaque du tas de bois le plus proche.

princesselea a écrit:: Ayant entendu les directives de Melissande, Léa retrousse elle aussi ses manches pour se mettre au travail. Quel bonheur de pouvoir s'occuper et d'aider une amie pour une entreprise qui lui est chère. Et puis, après tout, les écuries sont chères aux yeux de tout Argonne. En tout cas c'est ce qu'elle pensa en observant le lieu, jadis plein de vie et de joie, aujourd'hui noirci par les cendres.

Elle ramassa quelques buches qui se trouvaient au sol et se dirigea vers la demeure de dame Mélissande. Le froid qui lui avait gelé le bout des doigts, ne se faisait à présent plus sentir, tellement prise par l'entrain d'un tel ouvrage. A mi-chemin, elle se mit à sourire.

Petitangelot a écrit:: Mélissande voit Léa s'éloigner...

Mais attendez! Vous allez vous fatiguer à tout porter par vos propres bras. La paire de boeufs que Godasse à amener avec leur attelage est là pour nous faciliter les choses! Nous allons charger la carriole pour aller la vider par après!

La jeune femme se dit que Léa avait bien le droit d'être distraite étant donné le nombre de pensées qui devait emplir son esprit. Elle lui sourit puis l'aide gentillement à placer tout ces morceaux de bois dans le charriot.

princesselea a écrit:: Léa rit aux éclats en entendant Melissande.

Mon dieu oui, suis-je sotte? Je n'y avait pas pensé mais il est vrai que cela nous aidera beaucoup.

Elle déposa les bûches dans la charette.

Godasse57 a écrit:: Godasse continua donc le travail après avoir aidé Melissande à se relever. Il se dit que si tout le monde y mettais du sien les écuries seraient vites reconstruites.

Il faudrait que nous allions mettre une annonce sur la place nous pourrions peut etre trouver d'autres personnes susceptibles de nous aider.

Petitangelot a écrit:: Mélissande considère la proposition de Godasse avec intérêt...

Oui, bien sur cela serait une bonne idée mais je doute qu'un avis aussi général ait un effet aussi important que nous le voudrions. Mais pourquoi ne pas essayer!?

Mélissande jette deux morceaux de bois dans le charriot, puis continue...

Mais je me suis dit... les chevaux sont tout de même primordiaux pour les hommes d'arme. Les Loups qui casernent à Argonne ne sont pas trop occupés en ce moment!? Je me trompe, Godasse? Tu es bien placé pour cela... Et pourquoi ne demanderions-nous pas l'aide des soldats!? S'ils pouvaient déjà nous aider à nettoyer le site et à trouver et amener les matériaux...

La jeune femme continue à ramasser des débris.

kirika_93 a écrit:: kirika en etait a son 5 ou 6eme passage et eu une idée.
Elle revint quelques minutes aprés avec de bonnes boissons chaudes.
Elle retournat vers ses amis.

Vous en voulez? ça nous rechauffera.

Petitangelot a écrit:: Mélissande voit Kirika arrivé avec de la boisson chaude...

Cela nous fera du bien, je le pense. mais qu'est-ce?

Montre alors le charriot et sa cargaison.

De toute manière, le charriot est assez chargé. Les boeufs n'en tireront pas plus. Après ce remontant, nous descendrons jusqu'à chez moi pour le vider. Puis nous reviendrons pour un dernier chargement avant la nuit. Nous devrions pouvoir ranger tous les bois aujourd'hui...

redirish a écrit:: Redirish arriva un peu plus tard pour donner un coup de main à la construction de cette écurie. Il apporta avec lui son œil d`expert en charpente mais aussi quelques bois sculptés qu`il comptait utiliser pour décorer l`édifice.

Bonjour tout le monde!! Alors vous avez besoin d`aide?

Petitangelot a écrit:: Bonjour Redirish!

Mélissande était très heureuse de voir arriver Red d'autant plus qu'il avait déjà les mains chargées de matériaux et l'esprit plein d'idées.

Ton aide nous serait très précieuse pour remettre en place des fondation solides pour es écuries!

La jeune femme explique à Redirish, les différentes salles et écuries qu'elle souhaiterait mettre en place.

Il nous faudra une écurie principale pour les chevaux de propriétaires mais également une seconde pour les chevaux du haras, une grange pour le foin et la paille, un silot à grain, une salle de dortoirs, une sellerie et un bureau où j'accueillerai toute personne de marque...

Elle se penche alors vers Redirish.

Penses-tu que tout cela puisse être faisable rapidement!?

Petitangelot a écrit:: Redirish reste dans ses songes et réfléchi à ce qui pourra être fait! Après le petit encas apporté par Kirika, les comparses s'activent pour amener l'attelage à la maison de Mélissande pour le décharger. Godasse se place à l'avant pour guider ses boeufs, les femmes se place sur le charriot à l'arrière... Ils entament la descente vers le village.

Arrivés devant la masure de Mélissande, celle-ci saute en bas du charriot et guide Godasse pendant qu'il fait le tour de la batisse pour arriver à l'arrière. Une fois immobilisé, la jeune femme indique l'endroit où seront stockés les débris de bois.

Après maints efforts, ils terminent enfin de décharger le tout!

Et bien... voici une bonne chose de faite! Il commence à se faire tard... nous pouvons en rester là aujourd'hui. Après t'avoir aidé à rentrer tes boeufs, Godasse, et si nous allions nous divertir un peu en taverne!?

Godasse57 a écrit:: Godasse guidait les boeufs pendant que les femmes papotaient à l'arrière. Une fois arrivé devant chez Melissande il manoeuvra pour décharger tout le barda qu'ils transportaient. Une fois ceci fait Melissande proposa d'aller en taverne.

Eh bien je suis toujours partant pour me divertir surtout en taverne. Je vous y rejoindrais donc une fois que j'aurais ramené les boeufs à l'enclos.
A tout à l'heure donc.

Petitangelot a écrit:: Après s'être divertie quelques instants à la taverne, Mélissande ressent la fatigue et décide de rentrer chez elle pour se reposer. En rentrant, elle trouve une missive qu'un courrier avait déposé sous sa porte. Le message était de Moz. La lecture de ces quelques lignes font réagir Mélissande plus qu'elle ne l'aurait cru. Encore pensive suite à sa lecture, elle va voir son poulain, à l'arrière de la maison. Elle s'occupe de lui un instant avant d'aller se coucher.
Le lendemain matin, c'était décidé: elle partait pour Rouen pour revoir son époux.
Ses affaires préparées, elle se rend chez Godasse et frappe à la porte.

TOC! TOC!

Godasse57 a écrit:: Godasse venait juste de rentrer chez lui quand il entendit quelqu'un toquer à sa porte. Il se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Il y avait Melissande sur le pas de la porte.

Bonsoir !! Comment va tu ?? Entre je t'en prie .

Godasse s'éffaça pour laisser passer Melissande.

Petitangelot a écrit:: Mélissande salue Godasse puis entre.

Je ne reste pas longtemps. Je vais m'absenter quelques jours... Je pars sur Rouen. Je voulais te prévenir étant donné que tu m'aides beaucoup pour les écuries... Néanmoins, j'aurai un service à te demander. Pourriez-vous vous occuper d'achever de nettoyer le site pendant mon absence!? Nous avons déblayé tout le bois, il reste de vieux métaux à déposer chez un forgeron et les bricaillons à mettre de coté... Ainsi nous pourrons commencer les gros aménagement dès mon retour...

Mélissande se tait alors attendant la réponse de Godasse. la jeune femme savait que l'homme était déjà fort occupé avec son poste de soldat,... elle comprendrait s'il refusait.

Godasse57 a écrit:: Bien sur que je pourrais m'en occuper , je trouverais bien un moment dans la journée pour le faire ne t'en fait pas.

Petitangelot a écrit:: Mélissande sourit à Godasse.

Je te remercie énormément! mais n'hésite pas à aller quérir de l'aide auprès des autres villageois . Leur aide serait précieuse et éviterait de nous éreinter à la tâche.

Sur ce... je ne m'attarde pas plus. Je prend la route de suite!

Mélissande revient à la porte d'entrée, tourne la poignée et ouvre la porte. dans un dernier geste en sortant, elle salue Godasse.

A dans une semaine ou deux alors... je reviens rapidement pour lancer la reconstruction.

Elle lu isourit une dernière fois puis s'éloigne.

Godasse57 a écrit:: A bientot alors et faites attention sur les routes.
Je m'occuperais de la fin du nettoyage pendant ton absence

Golitor (18/01/1455) a écrit:

un messager se présenta aux écuries d'Argonne, avec un plis à l'attention de Melissande.
La provenance était Compiegnoise, et le porteur pressé, il demanda aux alentours

Coursier a écrit:: Messieurs dames, j'ai là un pli d'une extrême importance à transmetre à Dame Melissande, quelqu'un peut-il m'indiquer où la trouver ?

Petitangelot a écrit:: Il n'y avait pas grand monde aux alentours du site des écuries d'Argonne excepté un bucheron qui avait eu la bonne idée d'abattre quelques gros arbres qui allaient gêner l'annexe qui allait être construite en même temps que les anciens batiments.
Le bucheron d'un age respectable mais ayant toujours une carrure imposante, s'approche du messager et lui explique que Dame Mélissande n'était pas à Argonne en ce moment mais à Rouen auprès de son mari.

Ainsi vous aurez bien plus de chance de la contacter en l'attendant à Compiègne! Elle avait annoncé qu'elle ne serait absente qu'une grosse semaine. Elle ne devrait donc pas tarder à revenir, achève d'expliquer le bucheron.

Une fois cela dit, il reprend sa hache et sa scie sur son épaule puis reprend le chemin du village.

'scusez-moi. Je dois maintenant rentrer chez moi sinon ma femme va encore me faire des histoires pour le diner!

Petitangelot (28/01/1455) a écrit:: N'ayant eu aucune nouvelle de Godasse ou de quelqu'autre argonnaute au sujet des écuries, Mélissande s'était décidée à trouver hommes de métier à envoyer sur le chantier.
Etant toujours absente d'Argonne, elle commence les prise de contact par envois de missives à partir de Rouen.
Puis elle revient en Champagne avertie de la mort de son père. Elle descend au grand galop ver Troyes où allait être enterré Jean. Néanmoins, n'oubliant pas ses obligations envers les écuries et pensant au retard que prenait la reconstruction, elle se met à la recherche de charpentiers, forgerons, hommes de main,... qu'elle pourrait envoyer à Argonne. Elle avait fini de faire les plans elle-même, confiante envers le professionnalisme des artisans dont elle louerait les services.
Ainsi elle envoit une équipe d'une dizaine d'homme vers le village, lesplans en main afin qu'ils puissent mener à bien l'ouvrage. Il fallait que dès que bientot, on puisse à nouveau avoir des écuries fonctionnelles.

kirika_93 a écrit:: Kirika terminait d'organiser le materiel logiquement pour l'avancé des travaux au retour de Mélissande.
Quand elle vit arrivé une dizaine d'homme, tous plus musclés les uns que les autres, elle se dit que soldate ou pas, elle aurait du mal.
Quand ils s'approchèrent d'elle, elle resta crisper pour agire vite au cas ou, mais quand ils lui avaient expliqué qu'ils venaient continuer les travaux, elle se sentit tout de suite mieux.

bon...et ben je vous laisse travailler, appeller moi dés que je peux vous etre utile.

Elle s'assit par terre dans un coin, de façon a ne pas les gener et se reposa

Petitangelot a écrit:: Les hommes envoyés par Mélissande analysent l'espace disponible. Certains jètent un coup d'oeil sur les environs, d'autres regardent lesplans et réfléchissent à leur mise en pratique, d'autres encore calcul la quantité de matériaux qui serait nécessaire.

Au bout d'une vingtaine de minutes, un des plus vieux travailleurs s'approche de Kirika et lui demande où ils pourraient trouver les plaches, les poutres, les métaux dont ils auraient besoin.

quasi a écrit:: Quasi voyait les travaux des écuries avancer. Elle aurait voulu y prendre part mais ne savait que faire.
De nombreux hommes s'affairaient de tous cotés et ils semblaient oeuvrer sans mal.

Quasi vit dame Kirika et alla la rejoindre.

Bonjour Kirika, comment allez vous?

kirika_93 a écrit:: kirika dirigea l'homme vers les poutres.
Elle repartit quand elle vit Quasi.

Bonjour, je vais très bien merci et vous ??

Petitangelot a écrit:: Quelques hommes ont suivi Kirika pour aller chercher les premières grosses poutres qui constitueront la charpente. Deux autres commencent de marquer le sol à l'aide d'un crochet et d'une toise. les derniers amènent leur outils puis se mettent à préparer le sols pour y installer les fondations.
Sans faire plus attention aux deux femmes qui regardaient la scène, tous ces hommes de métier se mettent à l'oeuvre.

Petitangelot a écrit:: Au bout de quelques jours de travail, les fondations étaient maintenant terminées. Les hommes constructeurs pouvaient maintenant se monter la charpente de bois afin de monter les murs de pierre.

Mélissande entre-temps était revenue à Argonne. Elle avait été occupée un moment au chevet de Manouella et maintenant que celle-ci allait un peu mieux, la jeune femme venait vor si l'équipe qu'elle avait envoyé pour s'occuper des écuries était bien arrivée.

En approchant du site, c'est avec joie qu'elle aperçoit l'attroupement de travailleurs. Elle arrête sa jument au niveau des premiers hommes qui s'étaient approchés en la voyant arrivée.
Elle descend de cheval puis prend des nouvelles des avancements.

Nous avons fini les fondations, ma dame. Nous commençons doréavant la charpente. Nous devrons avoir fini demain.

Ces nouvelles la ravissait. Elle demande alors à voir celui qui s'était occupé des plans qu'elle leur avait remis pour voir si cela convenait et s'ils avaient apportés des modifications...

Petitangelot a écrit:: Cela faisait maintenant des semaines que les travaux avaient débutés. L'équipe d'ouvriers avait bien travaillé. Les bâtiments étaient presque terminés.
Mélissande avait surveillé le chantier pendant toute la durée des opérations. Mais alors que l'on commençait à voir la fin de tout cela, la jeune femme avait dû quitter le village pour suivre la troupe de Loups qui allaient patrouiller à travers la Champagne pour assurer des routes sans danger. Elle avait donner les dernières consignes puis était partie.

Maintenant qu'elle avait obtenu une permission, elle espérait rentrer au village pour constater qu'il ne suffirait plus qu'à inaugurer les batiments.

rene_l a écrit:: voulant apprendre a monter pour faire partie des loups de Champagne rené ce decida a construire pour plus vite apprendre a monter en plus Petitangelot sera contente de vois l'ecurie terminer

Petitangelot a écrit:

Rentrant de mission, Mélissande arrive au petit trot vers le site des écuries. Elle venait voir si le chantier était enfin terminé. A son grand bonheur, en s'approchant des batiments, elle s'aperçoit que tous étaient achevés.
Une bonne partie des travailleurs étaient d'ailleurs déjà retourné en leur foyer. Seuls quelqu'uns étaient encore sur place pour ranger les derniers outils, débarrasser les dérnier résidus des travaux,...

Mélissande arrête Tanja près du batiment principal et l'attache à un anneau. La jeune femme appel les hommes à se rassembler. A son appel, chacun s'approche.

Bonjour. Je suis enfin rentrée et je vous félicite pour votre travail! Vous avez permi à mes idées de prendre forme.

Mélissande aperçoit alors René. Elle ne connaissait pas cet homme: il n'était pas arrivés avec l'équipe de travailleurs. Elle en déduit donc qu'il devait s'agir d'un villageois qui venait prêter main forte. Elle le salue amicalement et en remerciement d'un signe de la tête.

Cela fait un bon moment maintenant que j'espérais rebatir les écuries. Je vous remercie tous pour les efforts que vous avez produits. Nous allons pouvoir organiser un élevage correct en Champagne. L'écurie d'Argonne sera mon pied à terre.

Mélissande se dirige vers sa monture. Elle fouille dans une des fontes et en retire un bourse remplie d'écus. Elle revient, avec un grand sourire, près des hommes et les lance au doyen qui rattrape la bourse sans problème.

Voici comme convenu de quoi vous remercier pour votre travail. Je vous laisse vous répartir cette somme.

Après avoir discuter encore un peu avec certains ouvriers de certains détails, Mélissande les libère de leurs obligations et les laissent rentrer chez eux. Elle fait alors un tour des batiments, le coeur léger et les yeux éblouis et heureux de pouvoir bientot profiter de ces nouvelles installations. Elle rejoint ensuite Tanja pour rentrer chez elle.

Elle y prépare un avis qu'elle afficherait le lendemain à la mairie:

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Population d'Argonne,

C'est avec beaucoup de joie et de fierté que je vous annonce officiellement que les écuries d'Argonne sont enfin reconstruites.
Je vous propose d'organiser une journée portes ouvertes afin que nous puissions tous fêter cela ensemble!
Cela se passera le vendredi 2 mars 1455 dès le matin.

A cette occasion, j'invite la noblesse et tout villageois à venir visiter les installations et à y réserver les box et/ou stalles pour leurs chevaux. De plus, nous vous présenterons les activités qui seront prochainement proposées à tous, au sein des écuries.

En espérant vous y rencontrer tous nombreux,

Mélissande,
Grand Maître des écuries de Champagne.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

[HRP: Je suis en train de réfléchir comment adapter le système de propriété de chevaux du Moyen-Age à la situation des RR en évitant le max de distorsion mais en permettant à toutes personnes de pouvoir un jour en avoir un.
Si vous avez des suggestions ou toutes autres idées, n'hésitez pas à me les envoyer par mp.

]

rene_l a écrit:: René fiers de son travail contempla l'ecurie, lui et les ouvriers on fait du bon boulots! Soudain un cris de raliment se fit entendre. rené se diriga vers petitangelot et ecouta attentivement ce qu'elle lui disa ,alors quand tout le monde fut partie rené alla voir petitangelot et lui demanda timidement:Pouvez-vous m'apprendre a monter?

Petitangelot a écrit:: Mélissande avait sourit à René lorsqu'il l'avait accostée.

Bien entendu, je pourrai vous apprendre à monter. Venez à la fête d'ouverture des écuries. Je vous présenterai les chevaux de l'écurie (pour l'instant, il faut que je les rapatrie tous et que je les installe dans leur nouveaux logement ) et vous expliquerai comment les cours se dérouleront...

Elle avait alors pris congé de René et était rentrée chez elle pour préparer l'affiche.

rene_l a écrit:: Apres le depart de petitangelot rené se disait qu'avec des aussi beaux chevaux sans surveillance les brigand voleurs,pilleurs allait en profiter, Alors rené pris un tappon de paille une couverture et un grand baton de bois en commença la garde...

pheonix44140 (27/02/1455) a écrit:: Pheonix venait de terminer sa journée il était passé en mairie et à la caserne!!!
Ces journées étaient monotone, il ne voulait pas aller se souler au bar tout de suite et décida d'aller rendre visite à une de ces camarades d'armées!!!
Il n'était encore jamais venu sur le lieu de travail de Mélissande!!!
Il trouva le lieu bien sympatique malgrès qu'il ne soit pas encore fini!!!
Il entra donc enfin entrer est un grand mot car il n'y a avait pas de porte mais bon!!!
Après 5minutes de vagabondage il vit Melissande s'approcha.

Bonjour,
Melissande comment vas-tu???
C'est sympa chez toi!!!
Bon je passais juste pour te faire un rapide bonjour!!!

Pheonix se demandais bien comment Melissande allais réagir à cette visite surprise!!!

Petitangelot a écrit:: [Gros bond en arrière pour revenir à ma dernière intervention qui commence à dater. :? :wink:
Mais pour un peu de cohérence...]

Mélissande était donc rentrée chez elle pour rédiger l'affiche pour la réouverture des écuries. Mais elle n'avait pu utiliser les heures suivantes à cela, le duché l'avait appelée pour elle ne sait qu'elle tâche... Elle était donc rapidement ressortie de chez elle pour aller chercher Tanja à l'écurie et rejoindre le chateau ducal.

C'est alors qu'elle préparait le harnachement de sa jument que Phoenix l'accoste.

Bonjour, mon ami! Quel plaisir de te revoir!

Les deux recrues venaient d'être fraichement admises dans le corps des loups de Champagne. Le test d'admission leur avait permis de se rencontrer et de nouer une amitié sincère.

Je suis contente de te revoir mais malheureusement je n'ai pas beaucoup de temps à te consacrer: on m'a mander au chateau duacl et doit y aller sur le champs. Mais je t'en prie fait donc le tour des écuries, visite-les...
Et lorsque tu auras fini, tu peux aller chez moi et t'installer: je te propose un encas ce soir à mon retour!

Mélissande termine rapidement de préparer son cheval, puis aute en selle. En saluant son ami, elle s'éloigne déjà.

Toute la soirée, elle l'avait passée au chateau en compagnie du duc Kurt et d'autres conseiller afin de préparer un rapport à afficher aux courriers de Champagne. Une fois son travail accompli, elle revenait vers Argonne. Elle avait quelque peu oublié que Phoenix devait l'attendre chez elle pour souper et décide alors de passer à la taverne municipale pour se relaxer qq peu.

[Suite du RP dans [RP] Un projet fou.]

Petitangelot a écrit:: Après que de nombreuses semaines se soient écoulées, Mélissande revenait en territoire agronnaute.
Après avoir été libérée de ses kidnappeurs, la louve avait été envoyée sur le front de Bretagne afin de renforcé, avec quelques autres recrues, les troupes de l'Ost. Elle n'avait pas rechigné à partir, désireuse de trouner la page sur ce qui venait de lui arriver.
Elle avait du coup découvert les horreurs des combats et avait souffert pour les autres au lieu de penser à elle. Elle n'avait pas été blessée mais elle n'arrivait plus à dormir la nuit. Des images d'hommes mutilés, de corps jonchant le champ de bataille,... Elle était rentrée au village épuisée moralement.
De plus, elle savait que son mari habitant maintenant en Normandie, avait lui aussi été mobilisé dans cette guerre. Elle avait tenté de le voir, de le retrouver mais n'avait réussi qu'à avoir de ses nouvelles via d'autres soldat qui l'avaient entrevu. Même proche de lui, qu'elle n'avait plus revu depuis si longtemps, elle restait seule. Au bout de semaines de recherche, elle avait abandonné l'idée de le retrouver, persuadée qu'il devait être mieux sans elle ou en tout cas qu'il ne cherchait pas à la retrouver. Son coeur en a été déchiré mais elle était convaincue maintenant qu'il ne restait plus rien de leur mariage qui n'a été que si peu consommé... à son retour à Argonne, elle ferait le nécessaire.

C'est pourquoi, revenue au village, elle avait choisi de participer aux festivités organisée au village pour fêter le retour des Loups. Elle avait espéré s'y divertir et tenter d'oublier ce qu'elle venait de vivre.
Mais la soirée a été plus surprenante que divertissante, plus troublante qu'innocente. Elle était rentrée, les joues rougies par l'alcool, mais l'âme plus seule que jamais. Elle s'était endormie sur son lit sans même prendre la peine de retirer son déguisement.
Le lendemain à son réveil, elle se remémore les évènements de la veille. Elle se débarbouille et revêtit sa tenue de cavalière. En rangeant son déguisement dans une malle, elle s'aperçoit qu'elle n'a pas ramené son masque et se rappèle qu'elle l'a laissé à cet inconnu... cet inconnu dont elle n'avait pas voulu connaitre l'identité mais auquel elle s'était ouverte et avait révélé une partie d'elle qu'elle pensait morte. Elle avait réappris à vivre ce soir-là mais appeurée par cette surprenante rencontre qui ne pourrait peut-être pas survivre aux fastes de la fête, elle avait choisi de partir laissant au bel inconnu au masque banc la liberté de la revoir... mais elle était réaliste, elle n'avait rien que son coeur à offrir, le reste étant détruit par les derniers évènements. Qui voudrait encore d'elle?...
Mais elle ne voulait plus souffrir non plus, ni être seule... Peut-être allait-elle devoir se résoudre à ne vivre que de ses chevaux et des services à rendre au Dames Blanches.

Fatiguée de tant de lutte entre ses pensées, elle quitte sa masure à pas rapide pour préparer son cheval et rejoindre les écuries. Arrivée, elle lache Arès dans un paddock et entreprend de remettre de l'ordre et d'entretenir les cuirs des harnachements.
Assise sur un rondin à l'entrée de l'écurie, elle frotte une selle avec un chiffon trempé dans de la grasse de pied de porc... le chant des oiseaux et le hennissement des chevaux pour seul bruit de fond.

[Suite dans Bas les masques!

Manouella (21/06/1455) a écrit:: Manouella qui a réussi à se libérer un peu de temps, décide de se rendre vers l’écurie pour voir Flamme sa jument.

Arrivée devant les écuries, elle espère voir Mel pour savoir si cela l’intéresse de pouvoir faire une petite promenade. Depuis le retour de la guerre, Flamme n’a pas été monté et cela ferait le plus grand bien à Manouella de faire autre chose que de gérer la mairie et le village et surtout d’écrire des courriers.

Mel ?? êtes vous là ?

[j'ai eu peur de perdre ce magnifique RP des ecuries ]

Petitangelot a écrit:: Malheureusement, Mélissande ne répondait pas. La jeune femme était partie rejoindre la commanderie des Dames Blanches où, pour fêter l'adoubement des premiers chevalier de l'Ordre, elle s'était vu confié l'organisation des joutes. Même si elle avait accepter cette taâche avec fierté et bonne volonté, cela lui prenait beaucoup de temps et ne lui en laissait que très peu de libre pour rester au village.
Le tournoi de joutes avait commencé la veille et ne se terminerait qu'en fin de week-end.

Ainsi les appels de Manouella restaient sans réponse et, Mélissande n'ayant pas encore trouvé de pafrenier, personne n'était là pour expliqué son absence.

[Oui, j'y tiens aussi... Il faut d'ailleurs que je pense en faire une copie dans le forum des écuries de Champagne pour être sure! ]

Tamaki (22/06/1455) a écrit:: Tamaki venait de faire l'aquisition d'un jeune selle-anglais qu'il avait trouvé à vendre sur le marché du duché...
Il avait longtemps pratiqué l'équitation,mais il avait abandonné tout son matériel en partant d'Angleterre...

Il avait depuis un moment repéré ces écuries,mais il n'avait pas osé y entrer sans raison...Mais maintenant,il devait bien s'y résoudre...

Il entra en silence et se décida à chercher s'il y avait quelqun lui même,sachant parfaitement qu'appeller quelqun en criant ne ferait qu'effrayer les chevaux...

Petitangelot a écrit:: De retour au village après avoir été longuement occupée à la commanderie des Dames Blanches, Mélissande avait traversé la place du village et saluer des connaissances qui s'y étaient regroupées pour discuter des programmes des prochains candidats aux élections municipales. Ayant pris soin de laisser une marque d'affection et d'encouragement à Elloyan, la jeune femme avait repris le chemin des écuries pour y laisser son cheval avant d'aller se rafraichir un peu chez elle.

Une fois aux écuries, elle entre par le grand couloir et entre son étalon dans une des stalles, lui retir son harnachement puis le pense rapidement avant de lui donner de l'eau puis un peu de foin.

Dans le batiment il n'y avait aucune trace de ceux qui étaient peut-être passé pour la voir. Manouella s'en était allée n'ayant obtenu aucune réponse. Tamaki était entré mais n'ayant pas eu plus de succès que Manouella, il s'en était retourné avec son cheval...

Une fois qu'elle a terminé de s'occuper de son cheval, la jeune femme rejoind sa maison en trainant les pieds de lassitude. Un bon bain ne lui ferait pas de tort avant un bon repas et une nuit bien méritée... pour se diriger dès le lendemain vers la caserne des loups pour l'entrainement des cavaliers.

Tamaki a écrit:: Tamaki entra de nouveau dans les écuries, bien décidé cette fois à camper s'il le fallait pour voir quelqun...

Il avait réussit à s'arranger avec un fermier pour loger sa monture, mais il restait encore le problème de matériel...Et puis,le brave homme avait accepté avec joie,mais Tamaki se doutait que ses deux chevaux de trait lui prennaient déja bien assez de place sans héberger la monture d'un étranger, même si celui-ci paye le prix fort...

Il s'avança le long des boxes et remarqua que certains chevaux avaient été pansés...D'autres devaient avoir des propriétaires à la mémoire particulièrement courte...
Avisant une jument en un état qu'il jugea indécent, il prit une brosse dans un seau et entreprit d'étriller un peu la pauvre bête...Elle était dans un des boxes du fond,personne n'avait du remarquer qu'elle était aussi sale...Ou peut etre que le graçon d'écurie avaiut pensé que personne ne s'en rendrait compte...

Quand ce fut chose faite,il donna une pomme au cheval et lui ceressa doucement le bout du museau en réfléchissant...Puis,il lreferma doucement le boxe et décida de faire le pied de grue à l'entrée...

Petitangelot a écrit:: Après cette soirée au calme et une nuit réparatrice, Mélissande se prépare à sortir de chez elle. Elle passe une tenue de cavalier léger (pantalon de lin épais brun, chemise de lin blanc surmonté d'un col droit, ceinturon de cuir noir, épée légère au fureau, hautes bottes de cuir noir) puis glisse dans une petite besace de quoi constituer un casse-croute. Enfin prête, en quelques mouvements de mains habiles, elle tresse ses cheveux et les noue d'un lacet de cuir brun.

Elle passe alors la lanière de la besace sur son épaule et sort de chez elle pour traverser la route et rejoindre les écuries.
La grande porte frémit et s'ouvre en grinçant, laissant entrer la jeune femme. A peine celle-ci la referme-t-elle derrière elle qu'elle s'aperçoit de la présence de Tamaki un peu plus loin. Il semblait patienter là depuis un moment. Elle s'approche de lui en souriant mais le regard interrogateur.

Bien le bonjour!
Vous êtes ici depuis longtemps? Je peux faire quelque chose pour vous?

Tamaki a écrit:: Le jeune homme avait bien essayé de patienter dignement,mais au bout de quelques heures,il se décida à s'assoir,dos contre la porte d'un boxe...

Le lendemain matin,il se réveilla à la voie de Melissande et il releva un regard embué avant de se relever et de s'étirer avec peine...

Ah,Melissande...vous tombez bien!^^
En fait,je suis venu demander si je pouvais mettre un étalon en pension ici,et si on pouvait m'y vendre une selle et tout le matériel nécessaire...

Il fit lugubrement craquer les os de son dos et poussa un soupir...Il ne s'était pas vraiment mit dans la meilleur position pour dormir...En plus,il devait sentir l'écurie,et rien ne lui aurait fait plus plaisir qu'un bon bain...

Petitangelot a écrit:: Souriant tout d'abord amusée par le réveil ensomnolé de Tamaki, la jeune femme frémit ensuite d'entendre les craquements de dos du jeune homme. Ce genre de "décontraction" inspirait plus de dégoût à la jeune femme que de soulagement.
Une fois la grimace effacée, elle prête alors attention à ce que venait de lui dire Tamaki.

La prochaine fois que vous avez besoin de faire une sieste, choisissez plutot le fenier! lui dit-elle en souriant!

Puis elle enchaine de suite avec curiosité.

Un étalon!? Mais biensur, vous pouvez le mettre en pension ici! Où l'avez-vous mis?

Un peu intriguée de découvrir quelle pouvait être la monture du jeune homme, elle commence à suivre la rangée de box pour y identifier le nouveau venu. Passant la tête au dessus de chaque porte, elle s'arrête alors devant un selle-anglais. La morphologie de celui-ci ne la trompe pas une seconde: peu de ces chevaux étaient importés pour l'instant de par les tentions entre les deux royaumes...
Elle tourne alors la tête vers Tamaki en lui disant d'un clin d'oeil:

Pas mal!

Bien que la jeune femme soit plus sensible aux formes généreuses de chevaux lourd et demi-lourd, elle savait reconnaitre les qualités de certaines races de chevaux légers.

Tamaki a écrit:: Tamaki esquissa un sourire doux et remercia Melissande...Puis,après s'etre un peu dépoussieré et avoir donné à manger et à boire à son cheval,il vint lui demander si elle était tentée par une promenade à cheval...

Il n'avais plus monté depuis des lustres,mais il avait très envie de voir ce dont ce cheval était capable...

Petitangelot a écrit:: Mélissande laisse Tamaki faire: elle le voit nourrir son cheval avec une dose de grain (un peu trop fournie à son goût) puis l'abreuver en lui présentant un seau rempli d'eau... Et bien... ce jeune homme lui semble alors beaucoup moins timide qu'à l'accoutumée. Il s'était déjà approprié l'espace et se servait des biens proposés aux écuries comme s'ils avaient été toujours sien! Le regardant avec un air étonné tout autant qu'intrigué de l'aisance de Tamaki, elle se reprend rapidement alors qu'il lui proposait d'aller faire un tour à cheval. C'est d'un air un peu déçu qu'elle lui répond:

C'est vrai que le temps d'aujourd'hui se prèterait très bien à une petite sortie... néanmoins je suis attendue à la caserne des Loups pour un entrainement!

Un instant, elle se rend compte que les charges de formatrices qu'elle avait acceptées à la commanderie et à la caserne lui prenaient beaucoup de temps... beaucoup trop, l'empêchant de s'offrir une simple balade distrayante avec un ami!
En essayant de se convaincre autant que Tamaki, elle dit:

Mais je vous promets de combler ce manquement très bientot! :wink:

Mélissande reprend alors l'arnachement qu'elle avait posé la veille devant le box d'Arès et le pose sur la porte du box avant d'y entrer et de brosser le peu de saleté sur le dos de l'étalon.
Tout en commençant à le seller elle reprend.

Ah, oui... et pour le matriel dont vous avez besoin... ce qui se résume finalement à une selle et un bridon... je n'ai rien à vous donner ici... et ce n'est pas article qu'on vend au marché: ce ne sont pas marchandises pour un simple villageois... Je vous conseille d'aller voir un bourrelier! Il pourra peut-être vous proposer un modèle simple et pas trop cher...

Elle se demandait d'ailleurs comment le nouvel arrivant blond avait pu s'offrir cheval de cette qualité et chercher à présent à acheter un harnachement complet! Ce n'était pas là dépense modeste!
S'interdisant tout préjugé ou hypothèse sans intérêt, elle détourne ses pensées sur ce qu'elle était en train d'expliquer.

Nombre de tisserands qui travaille le cuir sont également bourreliers... vous devirez en trouver au village facilement... même si je ne saurais vous recommander de maison!

Tamaki a écrit:: Tamaki fut d'abord un peu déçu que Melissande refuse,mais il se rendit compte qu'elle devait etre quelqun de très prise...

Il s'occupa donc encore un peu de son cheval...Il se sentait vraiment bien en ces lieux...pour tout dire,les écuries lui avaient toujours parues un endroit familier...

Il écouta les conseils de Melissande pour le bourrelier et la remercia...Il pourrait peut etre y faire un tour demain,histoire de se faire une idée des prix...Il lui restait encore une partie de sa réserve,mais si il ne retrouvait pas sous peu un autre travail,elle ne tiendrait pas plus de quelques mois...

Il donna une pomme à sa monture et en regardant l'étalon dans les yeux,il se demanda tout haut

Eh bien,mon beau,je me demande pourquoi ils t'on appellés Loustic...en tout cas,on va bien s'entendre tout les deux!^^

Le cheval se contenta de cligner des yeux en se laissant paresseusement caresser le bout du museau...Tamaki sortit du boxe et referma bien la porte avant d'aller voir Melissande

Merci pour vos conseils,Melissande...Et à la prochaine fois...
Et merci encore d'accepter mon cheval ici!

Petitangelot a écrit:

Tamaki a écrit:: Eh bien,mon beau,je me demande pourquoi ils t'on appellés Loustic...en tout cas,on va bien s'entendre tout les deux!^^

Mélissande sourit tout en continuant d'harnacher son cheval. Elle trouvait la scène des plus attendrissantes et savait que découvrir un cheval était toujours pour elle une grande joie et un grand moment d'écoute... Elle ne doutait pas que la sensibilité du jeune homme devait lui donner le même genre d'impression.

Ayant terminé de sangler Arès, elle prend maintenant le bridon, passe les rennes au dessus de l'encolure... puis plaçant sa main droite par en dessous de la joue du cheval pour la poser sur le chanfrein et maintenir ainsi la tête à hauteur raisonnable, elle présente le mors devant la bouche de l'étalon.
Celui-ci, habitué à ce que sa cavalière ne lui martirise pas la bouche, va presque chercher lem ors par lui même ne laissant plus à la jeune femme qu'à passer la têtière par dessus les oreilles et de refermer la sous-gorge.

Le bruit d'une porte de box qui se ferme... Tamaki revient vers elle, la salue et la remercie pour tout. Lui offrant un sourire entendu elle lui répond:

C'est avec plaisir! L'écurie reste ouverte à tous les propriétaires... donc n'hésitez pas à repasser.
Et à bientot! Pour une petite sortie, peut-être... :wink:

Elle le suit des yeux jusqu'à ce qu'il soit sorti tout en sortant du box et en achevant de s'équiper elle-même (cape, tri-corne, gants,...). Une fois le jeue homme parti, elle sourit toute seule... Elle ouvre en grand la porte du box d'Arès et d'un geste du bras lui fait comprendre de sortir, ce que fais le cheval de lui-même, habitué à cette gestuelle. Mélissande referme la porte du box, rejoind Arès qui avait continué d'avancer pour aller jeter un coup d'oeil au box du nouveau venu. Elle l'arrête avant qu'il ne puisse atteindre la porte: elle ne connaissait pas la réaction que Loustic pouvait avoir et des étalons ne se suporterait peut-être pas. Cherchant donc à éviter une situation conflictuelle, la jeune femme sort avec son cheval, le tenant par les rennes et en l'éloignant des portes de box.

En passant, elle s'apperçoit quelque matériel en désordre... elle se dit qu'il était peut-être temps pour elle de trouver un palfrenier et de ne plus laisser à la charge des propriétaire le soin de leur chevaux et du matériel. Elle y réfléchirait une fois revenue de la caserne.

Une fois en dehors du batiment, elle referme la grande porte des écuries puis passe un pied à l'étrier. D'un bond souple et fluide, elle se hisse sur le dos de son cheval et place son pied dans le deuxième étrier. D'un mouvement bref, elle ajuste ses rennes puis lance au petit galop son cheval vers la caserne des Loups.

Constance (20/09/1455) a écrit:: Constance arriva de bon matin aux écuries royales de Champagne.
Elle passa par le grand porche d'entrée.
Les sabots de Tanja frappaient le sol et raisonnaient dans la coure intérieur.
Un ancien palfrenier reconnu immédiatement l'allure, la couleur et l'éléguence de Tanja..la fidèle jument de Jean de Huy.
Il se précipita vers Constance et attrapa les rènes;..il caressa doucement la tête de Tanja tout en la guidant vers les boxs.

T'es encore vivante ma toute belle...nom d'une p'tite chouette, t'es aussi robuste que ma Radégonde..
Je vous salue damoiselle Constance, avez-vous fait bon voyage ??

Un excellent voyage Alphonse, vous voyez, je ramènne Tanja en entier...hihi....

Je l'vois bien , sacre bleu,...elle tient encore le coup la vielle..

Oui..mais voici venu, le temps pour elle de se reposer enfin...
Pouvez-vous prévenir ma soeur que je suis arrivée..??..

Pour sur damoiselle de Huy.

Après avoir aidé Constance à descendre de cheval, le palfrenier alla chercher le Grand maître des écuries royales de Champagne...

Petitangelot a écrit:: Le palfrenier arrive dans la grande pièce commune qui servait de d'accueil au gens de passage comme de réfectoire pour les cavaliers fréquentant l'endroit. Il traverse la salle à grand pas puis enprunte un petit couloir plutot discret . Il arrive rapidement à une porte sur laquelle il frappe quelques coups. Puis sans ouvrir la porte alors qu'il n'a pas encore obtenu réponse, il s'exprime de suite.

M'dame! Votre soeur vient d'arriver! Elle a ram'né Tanja avec...

Il n'a pas le temps de terminer sa phrase que l'on entend une chaise qui est repoussée rapidement à l'intérieur puis des bruits de pas vers la porte qui s'ouvre prestement. Mélissande apparait derrière la porte mainenant grande ouverte. Elle avait réagit de suite au nom de sa soeur et ne laisse pas le temps au palfrenier d'en dire plus qu'elle passe devant lui sans plus s'éterniser, pour se rendre de suite aux écuries.

Merci, Alphonse ().

Elle sort du coridor, retraverse la salle, le palfrenier à sa suite qui ne pouvait pas retenir un petit sourire amusé du comportement de la Grand Maître pourtant si discrète et retenue d'habitude. Il fait cependant attention à ce qu'elle ne se retourne pour ne pas se faire sermoner de cette légèreté.

Une fois dans la cour, Mel marche rapidement jusqu'au couloir des juments. Dès qu'elle entrevoit la silouette de sa soeur, elle l'accueille de suite avec un ton sincèrement heureux de la voir.

Constance!

Une fois à ses cotés, elle la prends dans ces bras pour une accolade des plus fraternelles. Cela faisait si longtemps... et Mel vivait tellement peu pour elle depuis trop longtemps. Après un certain temps de silence et de calme dans les bras l'une de l'autre, Mel se rend compte que le pafrenier l'avait suivie jusque là et les regardait bêtement presque en rigolant. Mel se redresse et lui adresse un regard noir lui faisait comprendre rapidement qu'il pouvait disposer, ce qu'il fait prestement.

Mel revient alors à Constance.

Alors!? Raconte-moi tout! Que deviens-tu? Tu es venue avec Tanja? dit-elle en s'approchant de la jument dont elle caresse le chanfrein.

auda (11/11/1455) a écrit:: Auda passait tout les jours aux écuries afin de voir et de s'occuper des chevaux dont les maitres étaient absents. Elle aurait aimer mettre le sien mais n'avait jamais penser le demander à Meli. Aussi ce soir là, elle décida de prendre sa plume et de lui écrire.

Citation :: Ce tiendra ici le registre des pensionnaires. Tout cheval qui sera pris en charge par les écuries d'Argonne devra être répertorié et identifier.

REGISTRE (MJ: 01/01/1455)

1° FLAMME
Propriétaire: Manouella
Sexe: jument
Age: 8 ans
Race: inconnue
Robe: alezan brûlé crin lavé
Remarque: 1 poulain mâle, Arès, de père étalon ardennais.

2° COURAGE
Propriétaire: Quasi
Sexe: hongre
Age: 8 ans
Race: camarguais
Robe: gris

3° ARCHANGE
Propriétaire: Bernard de Ballenstädt
Sexe: hongre
Age: 9 ans
Race: Irish cob
Robe: noir (avec balzane et marque en-tête)

4° FUREUR
Propriétaire: Bernard de Ballenstädt
Sexe: étalon
Age: 7 ans
Race: frison
Robe: noir zain

5° HERMES
Propriétaire: Hektor Dular du Val de Blois
Sexe: étalon
Age: 12 ans
Race: inconnue
Robe: bai brûlé

6° EQUILIBRE
Propriétaire: Yogin
Sexe:
Age:
Race:
Robe: alezan

6° ARES
Propriétaire: Petitangelot (Mélissande)
Sexe: étalon
Age: 1 an
Race: inconnu x ardennais
Robe: bai

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
* NUANCE (morte dans l'incendie des écuries le 08/08/1454)
Propriétaire: écurie d'Argonne
Sexe: jument
Age: 9 ans
Race: inconnue
Robe: alezan

Auda venait de mettre son cheval dans un box, elle se dirigea vers le registre afin de l'y inscrire. Elle y accrocha également un croquis

Citation :: 7° Gripoil
Propriétaire: Auda
Sexe: étalon
Age: 4 ans
Race: Lipizzan
Robe: Blanche
Remarque: Père: Kerovski (slovène) Mère: Iris (andalou)

[Personnages:

Jean de Huy: Grand maître des écuries royales de Champagne, deviendra le père adoptif de Mélissande
Moz: Ancien habitant d'Argonne nouvellement installé à Rouen (Normandie), mari de Mélissande
Quasi: Habitante d'Argonne, conseillère au peuple, très bonne amie de Mélissande.
Manouella: Habitante d'Argonne, très bonne amie de Mélissande, Chef de lance des Loups de Champagne, maire d'Argonne.
Godasse: Habitant d'Argonne, lancier des Loups de Champagne

[img][/img]
Kirika (kirika_93): Habitante d'Argonne, lancière des Loups de Champagne
Princesselea: Habitante d'Argonne
Redirish: habitant d'Argonne, menuisier-charpentier
Golitor: Habitant de Compiègne, ami de Jean de Huy (père adoptif de Mélissande), maître d'armes de Mélissande.
René (rene_1): Habitant d'Argonne.
Pheonix (pheonix44140): Habitant d'Argonne, lancier des Loups de Champagne
Le marcheur: Homme inconnu rencontré au bal masqué d'Argonne
Tamaki: Habitant d'Argonne.
Constance: fille naturelle de Jean de Huy et Soni, demi-soeur de Mélissande.
Auda: Habitante d'Argonne, lancière des Loups de Champagne.

]

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